Sixième étape: Andalousie d'ouest en est
Par Pascal le dimanche 29 novembre 2009, - Andalousie - Lien permanent
Nous sommes maintenant dans le Nord… (de l’Espagne, rassurez-vous) où nous avons trouvé la pluie. Ca fait rire les enfants car c’est comme dans le film des Ch’tis : dès qu’on quitte l’Andalousie, rideau de pluie. Une raison de plus pour nous faire regretter le sud de l’Espagne. Avant de quitter la péninsule ibérique et après le départ d’Alice, un coup d’œil dans le rétroviseur s’impose.
Notre mois andalou ne nous laisse que de bons souvenirs. Si cette région, ou plutôt communauté autonome, comme on dit en Espagne, a su nous charmer, c’est grâce à ses nombreux atouts :
Ses villes regorgeant d’art, d’histoire, de culture. Et encore, redoutant de ne plus pouvoir partir, nous avons choisi de ne pas visiter Córdoba, la ville d’Anne et Claire (comprenne qui pourra). Sevilla comme Granada nous ont charmés, malgré notre peu de goût pour les endroits touristiques. Les bâtiments où les différentes civilisations se superposent, se mélangent, ont un attrait auquel parents et enfants ont été très sensibles.
Le climat n’est pas non plus étranger au charme andalou. Durant tout le mois de novembre, nous n’avons enfilé l’imper qu’une seule fois, pendant quelques minutes, …un nuage égaré. Là-bas dans le Sud, nous ne savions même plus ce qu’était un nuage. Il faut quand même dire que nous avons particulièrement bien choisi notre année : certains nous ont dit que ça fait 40 ans qu’il n’avait pas plu en novembre !
Le dépaysement procuré par le travail dans les orangeraies ou les oliveraies.
Les rencontres faites dans certains endroits qui sont déjà devenus mythiques pour nous, comme :
-la « Venta Mauro », petit bar-restau où les gérants nous ont reçus comme des rois. Ils attendent déjà que Joachim vienne faire un stage de cuisine chez eux.
-chez Anja, où les enfants ont pu travailler, se baigner dans la piscine et jouer avec les chiens, pendant que Laurence et Alice taillaient les orangers.
-Marinaleda, village complètement atypique où les journaliers du secteur agricole, souvent exploités par un système de propriétés quasiment féodales se sont organisés en coopératives et ont réussi à ce que des terres leur soient données en concession. Un exemple à petite échelle de la réforme agraire qui n’a jamais été faite en Andalousie. Nous avons passé trois jours dans le gymnase dont la municipalité nous avait confié les clefs sans même nous demander notre identité. Les responsables de l’exploitation agricole ont pris le temps de nous la faire visiter. Le « maestro » du moulin à huile nous a même fait pénétrer dans son antre. Le parfum de l’huile d’olive en cours de fabrication n’est pas prêt de nous quitter. Les enfants ont profité de ces jours de repos pour … faire du vélo d’appartement. Il y en avait une dizaine dans le gymnase. Maël a même réussi à pédaler sur deux vélos à la fois ! Nous avons rendu visite aux élèves de l’école primaire et à ceux du collège, où la classe était décimée par la grippe. Nos enfants ont passé une soirée à jouer au basket avec les jeunes de Marinaleda. Comme presque partout en Espagne, le « polideportivo » (gymnase) est le lieu de réunion des jeunes du village. Ce n’est peut-être pas un hasard si les Espagnols ont un bon niveau international dans de nombreux sports…
-La voie verte du « train de
l’huile ».
-Les profs du lycée français de Séville, Sarah et Sandra, qui nous ont fait découvrir « leur » ville et nous ont invité au bar et au restau. Le tour fait dans la vraie Séville, celle où les touristes ne vont pas restera un des grands moments du voyage.
-Le village de Lantejuela où un conseiller municipal est venu nous ouvrir les sanitaires du « camping » et n’ a pas hésité à déranger un employé communal pour qu’il rebranche l’électricité.
-Noupi, un petit serpent très gentil rencontré sur la route, qui a mordu le fond du cuissard de Maël et a causé quelques frayeurs à Alice.
-La découverte du flamenco, même si Zoé est déçue de n’avoir pas vu de danses sévillanes. C’est surtout lors des férias qu’on peut en voir, et la saison est terminée (une raison de plus pour revenir…).
Voici quelques-uns de nos meilleurs moments andalous. Mais il y en eut bien d’autres, si bien qu’à peine partis, nous songeons déjà à retourner là-bas. Malgré tout, il nous semble que nous aurions pu mieux connaître encore mieux cette région et ses habitants. L’Andalousie vaut un an de voyage à elle seule, mais nous avons choisi de connaître aussi d’autres régions du sud de l’Europe. Il a donc bien fallu se résoudre à partir. Difficile de faire des choix…
Nous nous accordons en ce moment une pause à Aranjuez, où, chose bizarre, c’est l’automne. Les feuilles tombent, les matins sont frisquets. Nous prévoyons une expédition à Madrid pour équiper Garonne-Danube en vêtements chauds. L’Andalousie nous avait fait oublier l’hiver, mais celui-ci va peut-être nous rattraper en Sardaigne.
L’ambiance familiale est toujours bonne. Trois mois que nous sommes ensemble jour et nuit. Assez peu de périodes vraiment houleuses jusqu’à maintenant, même s’il y des « frottages de caractères » fréquents, comme dans la vie ordinaire. Nous avons toujours tous envie de continuer l’aventure. Laurence et Pascal se plaignent parfois de la lourdeur du « semi-remorque » qu’ils ont la charge de conduire. Une équipe de six personnes (et même sept lors des deux derniers mois) a une certaine inertie, au démarrage, au freinage et même à l’arrêt. Paradoxalement, c’est plus lors des périodes où ne nous roulons pas que nous remarquons la taille imposante du véhicule. Nous avons encore pu l’expérimenter cette semaine à Jaén et Granada. Quand nous roulons, nous sommes autonomes pour le logement, l’alimentation, le transport, le garage. Alors que quand nous visitons une ville, il faut anticiper pour trouver où dormir (camping sauvage impossible), où manger (restau trop cher), comment se déplacer (personnes et vélos), où laisser nos « véhicules » qui ne peuvent pas prendre le bus et ne sont acceptés que dans un nombre de trains assez restreint. C’est pour cela que notre équipe nous semble plus lourde à traîner en ville que dans la campagne. C’est d’ailleurs tout à fait logique : Vous avez déjà essayé de faire monter un semi-remorque à l’Alhambra, vous ? Le coût des séjours en ville est lui aussi assez prohibitif : le prix de la place de parking pour un semi-remorque en centre-ville est impressionnant !!!
Nous avons donc dû choisir récemment entre Córdoba et Granada, deux des trois joyaux andalous. C’est Granada qui a gagné, grâce à l’atout de la montagne. « Sierra Nevada, c’est comme notre voiture » a remarqué Zoé. Et vu qu’on reviendra (bientôt ?) vers Séville pour amener Joachim en stage « bistrot », on visitera Cordoue à cette occasion : ce sera sur la route. Maël a regretté de ne pas voir la fameuse mosquée de Cordoue , mais Clara s’est réjouie de pouvoir se rendre à Grenade sur les traces de Federico Garcia Lorca que Mme Dansou et Monsieur Cadet lui avaient fait découvrir l’année dernière au collège.
Les chauffeurs du « semi-remorque » ont donc toujours des choix à faire, de nombreuses décisions à prendre chaque jour. C’est parfois fatigant, ça fait souvent douter, voire regretter un choix. Mais jusqu’à présent, nos décisions n’ont pas été si mauvaises que ça : le véhicule est encore en parfait état et démarre bien. On craint quand même pour les démarrages matinaux quand le temps va se rafraîchir….
Nous apprécions tous énormément nos quelques jours de pause ici, à Aranjuez. Plus besoin de chercher chaque soir où dormir, où garer le semi-remorque. Pause, mais pas repos, car les enfants font leur travail scolaire, sous la conduite de Pascal, et Laurence travaille au jardin pour « payer » le logement qu’Ana et Juanpa nous fournissent. Finalement, du vrai repos à ne rien faire, nous n’en avons jamais. Et dire que certains nous croient en vacances…
Nous sommes en voyage, mais c’est pas du voyage « prêt à consommer », messieurs dames. C’est un voyage artisanal, cousu main, sur-mesure, c’est pas d’la m…….. . Ca prend du temps et de l’énergie, mais c’est du haut de gamme ! Même si on ne se repose jamais, on prend chaque jour conscience de notre chance et on redoute déjà de retrouver la routine dans sept mois.
Bon, voici donc nos états d’âme actuels. Cela est sans doute moins rigolo pour vous que les épisodes du genre « Papi Bordeaux » (notre estomac se réjouit d’ailleurs de ne pas le retrouver tous les soirs, celui-là), mais c’est important pour nous de vous faire partager cet aspect de notre aventure. Nous sommes déjà au tiers du voyage. Le chapitre « péninsule ibérique » sera bientôt terminé. Un bilan s’imposait donc avant d’entamer le suivant. Il est très largement positif, pour toute l’équipe.
Iles et péninsule italiennes sont au programme du prochain chapitre. Nous commençons à nous plonger dans les livres d’italien. Bon bain de langue en perspective pour tous et en particulier pour Clara qui l’a choisi comme troisième langue au lycée.
Dans une semaine, nous serons dans un ferry
qui nous conduira vers Porto-Torres, au nord de
Commentaires
il vaut mieux faire le bilan avant qu'après notre passage, c'est plus objectif et ça fait moins mal au crâne....
Malgré l'absence de Raymond, il était nécessaire de faire un bilan avant d'attaquer le tour d'Italie . (Blague cycliste !)
Tour à tour la Vuelta et le Giro , sur les cartes ça fait un sacré tour!
Après l'huile d'olive, la Sardaigne; n'aurait-il pas été plus judicieux de passer de Sardaigne à l'huile.
C'est tout pour aujourd'hui
Garbure Danone
Tant pis pour la carte postale, nous en aurons une lorsque vous y retournerez. Nous ne serons pas des votres ce week-end, Antoine a la grippe. Mais je suis sure que l'ambiance sera au rendez vous.Je pistais les nouvelles fraiches et suis ravie de voir que tout va bien. Papa est passé le potager est plein de salades....
Gros bisous des Vougny
salut les chéris
ben voilà avant hier j'ai regardé rien!!!
Ce soir une émission à le radio sur le spectacle d'un argentin et forcément j'ai pensé à vous.Je reconsulte et youpi des nouvelles
Vous vous posez la question sur la routine du retour (vous verrez bien encore sept mois à croquer), je vous fait confiance pour la détourner aisément le moment venu
En attendant nous vous faisons milles bises et passé un bon moment à Barcelone avec vos amis et bon bateau jusqu'en Sicile avec un peu de chance vous verrez des dauphins!
Domi et son pot!!!!
Ps notre prévision pour le sud d'Italie est fortement compromise car nous avons enfin trouvé une automobile "oh la belle bleue!!"nous sommes comme deux gosses!avec un beau jouet (que nous avons tan attendu) dans les mains et la bourse vide!!!!
Salade aux loukoums ! Je viens de retrouver l'adresse...merci gugle. Vu que je n'ai pas tout suivi, j'ai la surprise de vous voir dans le nord de l'Espagne: vous avez annulé l'étape Tanger - Ceuta...(?) . Les quelques photos semblent montrer que vous avez conservé la nostalgie des pistes sudaméricaines. 20 ans...Bonne route et rapportez le meilleur !
Dominique et Michel
Depuis 3 mois je vous suis et bien souvent vous envie; vous pédalez , nous ramons et le courant est fort!!! demain ciné-débat avec le dernier film de Moore...
Jet P
que dire quand on rentre de deux mois de voyage passés avec les Chastin... on en revient complètement métamorphosé, la routine de tous les jours ne peut pas etre la meme qu en partant, des choses tellement fortes ont été vecu, cela fait reflechir sur la façon dont nous vivons. meme si il y a des choix difficiles a faire, vous avez fait les bons ( a mes yeux ). garder confiance en votre voyage, laisser vos envies vous guider. merci mille fois pour ce que vous m avez fait vivre... je vous aime
j allais oublier, n oubliez pas que vous etes tous les 6 des personnes EXEPTIONNELLES !!!! (dans les 2 sens du terme)
gros bisous
Toujours aussi passionnant a lire...
Je n'imagine méme pas comment cela doit etre passionnant a vivre....
bon courage pour le 2eme tome de votre aventure...
et pour les cyclistes lol la vuelta et le giro a enchainer, cela n'est pas du gateau...
A quoi vous dopez vous ? hi hi hi
Bonnes routes a vous et pleins de bisous....
La 15ème et 16ème roue de votre périple est rentée à bon port après 2 mois 1/2 à partager vos aventures entre le Portugal et l'Espagne.
Alice retrouve son petit confort mais les marques ne sont plus les mêmes. Une douche tous les 2 jrs, merci pour la facture d'eau....La marche ou le vélo à la place de la voiture , merci pour l'environnement et son bien être à elle.
Je me réjouie de tous ces commentaires, ces annecdotes et j'ai comme l'impression d'être auprès de vous .
Bon week-end à Barcelone avec vos amis et rendez-vous en Sardaigne pour la nouvelle année.
Bravo! Merci!! Bravoetmerci!!! Mercietbravo!!!!, on a beau retourner toute la joie que nous avons à vous lire, nos langues et nos doigts sur le clavier, ces deux mots se bousculent dans nos têtes à chaque message.
Un grand Bravo pour votre aventure, qui semble bien belle et surtout bien riche (sans rapport avec le stationnement de votre "vehicule" bien sûr) et qui nous bluffe complètement. Surtout profitez-en à donf sans penser au retour ; faites les cigales (studieuses, cela va sans dire, CNED oblige), le temps des fourmis viendra bien assez tôt et laissez le bourdon là où il est....
Merci de tout coeur de votre partage, des textes mitonnés avec humour et délicatesse enrobés de photos de rêve, qui nous font voyager goûter un peu votre route et nous fait le plus grand bien dans notre grisaille. Où fêterez-vous Noël ?
A + avec pleins de bises, sans grippe A pour l'instant. Perrine
Bonjour à tous,
après le commentaire d'Alice nous comprenons la richesse que peut apporter ce voyage et la volonté et le courage qui sont nécessaire pour le concevoir et surtout pour le réaliser.Bravo à tous aux grands comme aux petits.
Les écoles ici sont fantômatiques suite à la grippe A.
Cette route au sein des oliviers devait être fabuleuse. J'ai eu une bouteille d'huile d'olive suite à ma première cueillette.
Avez-vous vu des manades de taureaux et de chevaux en Andalousie ? Quelles sortes d'oiseaux migrateurs croisez-vous sur votre chemin? des oies des canards?
Nous vous embrassons tous affectueusement. bon voyage en bateau.
bonjour à vous tous
je suis attentivement votre périple nous en parlons souvent avec les ATTAC du comminges.
Amicalement à vous nous attendrons donc le bateau et la Sardaigne
Coucou ,en rentrant dimanche soir je me suis couchée tellement tard que le lendemain je me suis réveillée à 9h 30 donc pas d'école le matin .J'ai adoré Barcelone !
Zoé François
Ca y est, on l’a vu !! Le PERE …… CHASTIN !! il n’avait pas son traineau et ses rennes mais son vélo et ses lutins. Comme pour Noël, ils nous ont fait de beaux cadeaux : tout ce qu’ils avaient trouvé au bord de la route et la remorque en prime !! A voir leur teint, c’est sûr, il ne venait pas du Pôle Nord !!
La tribu Ragné, Michaux et François sont allés prendre un petit bain de copain à Barcelone. C’était un WE magique !!
On en a profité pour visiter Barcelone avec notre petit groupe de 22, à pied, en bus, en métro et à vélo pour certains. Le lendemain, tous à la plage !!
A l’heure qu’il est, ils ont largué les amarres, direction la Sardaigne, après quelques péripéties !! Le temps était avec nous et le soleil était radieux dans les cœurs !!
Merci à vous tous pour ces bons moments… on recommence quand ???
Coucou les voyageurs petit passage sur le blog pour avoir de nouvelle en nouvelle..
Ici c'est résultat du conseil de classe, réunion parents profs, préparation de noël et spectacle des écoles.. Voila un peu de précipitation mais rien qui nous empeche de penser a vous, et contente de constater que tout va bien et que tout le monde veut poursuivre l'aventure!=D On vient de reçevoir votre carte de Séville ;D
Voilà a très bientôt sur le forum
Gros bisous à tous
Julie <3
C'est pas le père Chastin qu'on a vu, c'est un satyre. Sans moustache et en marcel, avec ses airs inquiétants de pêcheur portugais au regard froid. Avec la mère Noël, que la fréquentation des moutons ibériques n'a pas attendri, ils terrrorisent les populations paisibles. Les vieux demeurent leurs cibles privilégiées. Comme dit Pascal:il vaut mieux les tuer dès la naissance! Du terrorisme générationnel vous dis-je. On voulait faire du social à Barcelone, on a juste débusqué un barbu halluciné, sa compagne affolée et la marmaille endoctrinée à force de pédaler. Et sans passeport en plus!
Faîtes oeuvre de charité, ne dites rien au père Noël, ce sont les enfants qui vont trinquer (ce qui n'empêchera pas les parents de faire de même en douce, avec un papi Bordeaux égaré quelque part!).
on s'est sauvés in extremis, manquant y laisser des plumes, abandonnant un peu de notre âme. Je confie à des coeurs courageux le soin de prévenir les vieux de Sardaigne et de Sicile. Moi je suis trop fatiguée et puis il faut que j'éponge les cochonneries de mes élèves. Je ne sais pas pourquoi, je crois qu'on s'est faits repérer: les chastin nous fuient. Ils disent que le sel dans le quotidien, ça met un peu de piquant, mais que la soupe trop assaisonnée, ça leur fait regretter leurs pâtes quotidiennes...
Bizarres vous dis-je....
Como esta a la casa(comment ça va chez vous).
Moi ça va.
J'ai parler sur le carnet de l'équipe car je trovais que parler qu'à Zoé n'était pas trés fair-plaît.
Vous l'avez vu Amaya?Si oui...désolé d'avoir faît
signé en bas de la page.
Dis moi Zoé,Amaya te donnes les devoires de l'école?
Tchao.
laisse quelques baisais de tous ceux que je t'envoi pour ta famille.
coucou, le soleil est toujours parmi vous apparemment avec oranges, olives et piscines.
Pour nous gros refroidissement et 1ere neige hier avec quelques cm.ça sent Noêl!!J'aurai Cassiopée pour Noël, on pense très fort à vous
Bonne route , bon courage et que le ciel reste clément. Bisous.
salut les biquets!
Alors là, vu le temps qu'il fait ici j'espère bien qu'en Sardaigne le froid dédaigne l'ile, et même si la température n'est pas ibérique elle restera toutefois un peu plus clémente qu'ici, sinon glaglagla!!!!!!
Merci pour la carte
Bises
Domi
Salut tout le monde
Merci pour la carte de Granada qui a eu un effet lacrymogène gratuit immédiat (La larme à l'oeil)
(au fait, Pascal il s'agissait d'une blague des plus classiques : le bilan sans Raymond)
Les vignettes de l'Hispanie nient que vous vous y êtes ennuyés et je pense que que l'Italie bottera les pointures que vous êtes et que le maquis des sardes sera aussi peu piquant que l'auteur de cette contrepèterie est en danger....
Vous pourrez passer l'auteur de ces blagues à tabac dès votre retour...( le fumier puede matar )...
Garbure- Danone
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