Vingt ans plus tard, je veux retrouver les sensations du voyageur: chaque jour, tracer sa route, rencontrer de nouveaux visages, s’enrichir d’émotions et de connaissances.
Si nos enfants puisent dans ce voyage la même chose que ce que nous avions trouvé lors de notre « tour du monde » de 1990, alors nous aurons eu raison d'avoir l'audace de partir. Vivre ces aventures en famille devrait enrichir la relation que nous avons avec nos enfants.
En attendant, nous rêvons tous les six sur les cartes, c'est le début du voyage...